[Cinéma] L'Envers du mirroir
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[Cinéma] L'Envers du mirroir
La réalisatrice algérienne, Nadia Cherabi-Labidi a fait son coup. Elle a réussi à terminer son premier film intitulé « L’envers du miroir », cette œuvre cinématographique de fiction, d’une durée de 105 minutes, a été projetée en avant première hier, à la salle El Mouggar, Alger.
Le scénariste, qui n’est autre que Sid Ali Mazef, n’est pas allé par quatre chemins pour trouver son sujet, puisque l’histoire est tirée du vécu quotidien de toute une frange de la société. L’équation est simple, mais pas simpliste. C’est en effet l’histoire d’une jeune fille (Nassima Chems) qui, à la suite du viol dont elle a été victime de la part de son beau-père, fuit le domicile conjugal. Quelques mois plutard, elle accouche. Ne désirant point cet « enfant de la honte », elle l’abandonne dans le siège arrière d’un taxi. Le chauffeur (Rachid Farès) découvrant le bébé, il l’emmène chez lui, et repart à la recherche de la génitrice du nourrisson.
Le chauffeur de taxi finit par trouver la maman du bébé. Celle-ci lui explique les raisons de son geste, en lui demandant de ce fait de ne lui pas en vouloir.
Intervenant lors d’une conférence de presse animée à la salle El Mouggar, la réalisatrice a indiqué que le film se veut une vue panoramique de l’un des phénomènes dont souffre l’Algérie. S’agissant de la prédominance de la couleur bleue, sur son film, elle souligne que cela ne peut refléter que son propre imaginaire. « Je me demande toujours pourquoi on surnomme la capitale de Alger la blanche, alors que la couleur qui domine est bel et bien le bleu ».
Le chauffeur de taxi finit par trouver la maman du bébé. Celle-ci lui explique les raisons de son geste, en lui demandant de ce fait de ne lui pas en vouloir.
Intervenant lors d’une conférence de presse animée à la salle El Mouggar, la réalisatrice a indiqué que le film se veut une vue panoramique de l’un des phénomènes dont souffre l’Algérie. S’agissant de la prédominance de la couleur bleue, sur son film, elle souligne que cela ne peut refléter que son propre imaginaire. « Je me demande toujours pourquoi on surnomme la capitale de Alger la blanche, alors que la couleur qui domine est bel et bien le bleu ».
Wassila B.
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