Sidna ramadan
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Sidna ramadan
Sidna ramadan, comme disaient nos grands-mères, est parti. On oubliera l’ENTV ainsi que ses feuilletons, et le semblant de débat polémique, entamé dans la presse et, certainement, les microcosmes culturels, sera reporté à l’année prochaine.
El Watan a eu la subite et heureuse idée de consacrer un dossier à la une sur ce sujet et notre confrère Mustapha Benfodil n’a pas ménagé ses efforts pour pénétrer ce milieu de la production audiovisuelle et nous le donner à voir de l’intérieur.
Mais au bout du compte, on peut s’estimer insatisfait du résultat et sortir de ce voyage journalistique quelque peu frustré. En un mot, on ne sait plus trop à quoi s’en tenir avec l’ENTV et ses productions. La question financière est éludée alors qu’elle est la motivation première qui prime sur toute autre
considération et celle qui détermine le choix des intervenants, de la production et de la réalisation.
Quels sont les budgets attribués, sur la base de quels critères le sont-ils, par quels réseaux et, au bout de la chaîne, pour aboutir à quels produits artistiques ? C’est pourtant l’occasion de faire le point sur la petite nébuleuse de la production privée dont on apprend, ou confirme, qu’elle vit essentiellement des marchés passés avec l’ENTV.
Si l’on excepte les occasions ponctuelles comme le Millénaire de la ville d’Alger, l’Année de l’Algérie en France ou encore Alger, capitale de la culture arabe 2007, occasions qui sont censées booster la dynamique cinématographique dans le pays, rien n’est moins sûr.
El Watan a eu la subite et heureuse idée de consacrer un dossier à la une sur ce sujet et notre confrère Mustapha Benfodil n’a pas ménagé ses efforts pour pénétrer ce milieu de la production audiovisuelle et nous le donner à voir de l’intérieur.
Mais au bout du compte, on peut s’estimer insatisfait du résultat et sortir de ce voyage journalistique quelque peu frustré. En un mot, on ne sait plus trop à quoi s’en tenir avec l’ENTV et ses productions. La question financière est éludée alors qu’elle est la motivation première qui prime sur toute autre
considération et celle qui détermine le choix des intervenants, de la production et de la réalisation.
Quels sont les budgets attribués, sur la base de quels critères le sont-ils, par quels réseaux et, au bout de la chaîne, pour aboutir à quels produits artistiques ? C’est pourtant l’occasion de faire le point sur la petite nébuleuse de la production privée dont on apprend, ou confirme, qu’elle vit essentiellement des marchés passés avec l’ENTV.
Si l’on excepte les occasions ponctuelles comme le Millénaire de la ville d’Alger, l’Année de l’Algérie en France ou encore Alger, capitale de la culture arabe 2007, occasions qui sont censées booster la dynamique cinématographique dans le pays, rien n’est moins sûr.
algerietélé- Membre Fondateur
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